Quand la stabilité de l’Algérie dérange les médias du service public français

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Les Algériens ne décolèrent pas contre les médias du service public français. Visiblement pour l’audiovisuel public français, le dossier de la décennie noire n’est pas clos.

Le poids de la haine de l’Algérie, de son peuple et de ses institutions légitimes est encore fort dans l’audiovisuel public français. La fiction, qui n’en n’est pas une, produite par la chaîne franco-allemande, ARTE, sur la décennie noire et qui a pour objectif de remettre au goût du jour la thèse du « qui tue qui » confirme encore une fois que ces médias ne désespèrent pas du retour d’un invraisemblable chaos en Algérie.

Les médias publics français qui avaient déroulé le tapis rouge au FIS dissout, un parti responsable de plus de 200.000 morts, sont en train de faire preuve que la thèse du « qui tue qui » bat toujours son plein dans les médias du service public français.

Et pourtant, la tutelle de ses médias qui accueille à bras ouvert le mouvement terroriste Rachad, héritier du FIS, devrait tirer les conclusions de l’échec des « printemps arabes » qui ont véritablement viré au chaos et au génocide en Syrie et en Libye. N’est-il pas temps pour ceux qui ont décidé de la production de ce navet, de rétablir les vérités sur cette mémoire toujours traumatique chez les Algériens ?.

En commençant par bannir l’idée véhiculée des années durant que Rachad et son géniteur le FIS sont des mouvements révolutionnaires, une autre thèse largement entretenue dans cette production du média public français .

Visiblement, l’audiovisuel du service public français qui soutient une organisation terroriste en Algérie, n’est pas sur la même longueur d’onde que la France officielle engagée dans une guerre contre le terrorisme islamiste dans le Sahel. Il y a une volonté manifeste d’essayer de créer les conditions d’un chaos en Algérie que les Algériens n’ont aucune envie de revivre, pas plus d’y plonger.

Ils tiennent à la stabilité de leur patrie, à leur sécurité assurée par leur vaillante Armée nationale populaire et à leur liberté garantie et protégée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
R. N.