Rapatriement de migrants subsahariens : campagne féroce contre l’Algérie

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L’agence américaine AssociatedPress (AP), a publié, lundi, un reportage tendant a à accabler l’Algérie sur la question des migrants subsahariens et leur rapatriement. L’article est assorti d’une vidéo et de témoignages aux allures d’un montage grossier, ses auteurs ayant pris le soin de faire en sorte qu’il ne puisse répondre à la moindre preuve matérielle des faits et des lieux.

Les médias des pays en butte à la problématique de l’émigration clandestine qui empoisonne la vie à L’Italie, la France, l’Angleterre et bien d’autres ont saisi cette aubaine pour mener une campagne féroce contre l’Algérie, en lui réservant un battage médiatique propagandiste, faisant fi de toute déontologie, voire la simple honnêteté intellectuelle, en occultant les valeurs de l’Algérie  en matière des droits de l’homme  et son respect sans faille des règles internationales qu’elle observe dans les faits.

Ce reportage et l’écho que veulent exploiter les médias outre méditerranée ne peuvent duper personne et indiquent clairement que cet acharnement est sciemment orchestré afin d’amener l’Algérie à agréer des centres de rétention de migrants et dont elle serait le gendarme.

Après avoir présidé la funeste agression de la Libye, réduit à présent au stade de non Etat et ayant charrié l’instabilité chronique qui prévaut dans toute la zone du Sahel, la France,l’Italie et la Grande Bretagne, pour ne citer que ceux les plus importants, reçoivent de plein fouet, à présent les retombées de leur agression dévastatrice d’un pays souverain, à travers le flux massif de migrants.

D’où leur quête à confiner le phénomène en Nord Afrique, avec l’Algérie comme gardienne du temple.

Mais fidèle à ses principes et surtout conséquente avec elle-même, elle retoque les désidératas d’une OPA qui voudrait qu’on balaie à sa place, les détritus dont elle a jonché la place.

Un refus de plus, après celui du G5 Sahel dont l’Algérie ne voulait pas en entendre parler, et les chiens sont lâchés !

Azzouz. K.