Images d’un mort-né déposé au réfrigérateur : le DG de l’hôpital Parnet accuse une jeune parturiente d’avoir fabriqué ces images

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Ce qui s’est passé à l’hôpital de Sidi Aissa à M’sila ou bien à celui de Constantine ne diffère pas de ce qui s’est passé à l’hôpital Nafissa Hamoud (ex Parnet) dans la commune de Hussein-Dey à Alger.

Zoubir Rekik, directeur général de l’hôpital Nafissa Hamoud (ex Parnet) a livré sa version concernant la vidéo qui circule sur les réseaux sociaux où l’on voit un bébé mort-né déposé dans le réfrigérateur au niveau du service génécologie de cet hôpital.

Une vidéo qui a scandalisé les algériens et dont la véracité reste à vérifier.

Justement, la version du premier responsable de cet hôpital algérois dément catégoriquement ces faits.

Intervenant ce matin sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, Zoubir Rekik crée au complot.

Pour lui, ce qui s’est passé à l’hôpital de Sidi Aissa à M’sila ou bien à celui de Constantine est similaire à ce qui s’est passé à l’hôpital Parnet.

Il a tenu à démentir la véracité de ces images diffusées sur les réaux sociaux.

Pour le DG de l’hôpital Parnet, ces images sont une «pure fabrication» d’une jeune parturiente atteinte au Covid-19 hospitalisée au niveau de l’unité Covid de son hôpital, au même titre que son mari qui atteint au Covid-19 hospitalisé également au même service de l’hôpital Parnet.

Zoubir Rekik porte des accusations grave à l’encontre de cette parturiente, qui selon lui, a utilisé le réfrigérateur mis en place au niveau de ce service pour y ranger les médicaments.

Selon le récit de Zoubir Rekik, la jeune parturiente a déposé un mort-né d’une autre maman parturiente hospitalisée au service génécologie de l’hôpital Parnet et procéder ensuite au montage de cette vidéo pour la diffuser sur les réseaux sociaux.

L’invité de la Chaîne III a fait savoir qu’une enquête a été engagée par ces services afin de déterminer les raisons exactes ayant poussé cette jeune parturiente à commettre un tel forfait avant de promettre d’engager des poursuites à son encontre.

Hacène Nait Amara